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    Il arrive parfois que les Dieux de l’Olympe

    Aient un geste indulgent pour les êtres humains

    Et, dans un accès de pieuse compassion,

    Révèlent à leurs yeux bien souvent non-voyants,

    Un peu du souvenir du paradis perdu.

    La nature se pare alors de fastueux éclats

    Elle se vêt de pourpre, d’ambre, de jaspe,

    Reflets de bronze et d’or…

    Tandis que le ciel, à l’unisson de ces atours princiers

    Chamarre ses nuages d’une lueur d’aurore

    Et verse sur nos fronts de mortels égarés

    Les bienfaits éclatants d’une lumière d’or.

     

    Dans ce creuset doré de teintes opulentes

    Chacun peut exprimer son trouble et son émoi

    Le mystique y verra l’intervention divine

    Entendant dans les ors la parole de dieu ;

    L’humble fera là le serment d’une vie vertueuse,

    Tandis que le cupide rêvant à des fortunes

    Entendra résonner des pépites d’argent

    Dans cette nuit de flammes ourlées de feux sacrés ;

    Le plaisant percevra les notes langoureuses

    Que jouent le ciel et l’eau en leurs poses amoureuses

    Tandis que l’exilé, porté par la mémoire d’une terre ancestrale,

    Se souviendra  ému des doux rivages blonds de sa patrie lointaine.

     

    Et moi, devant ce paysage céleste et éphémère

    Comme un voile de fumée sur la courbe du temps

    Moi, promeneur solitaire dans un songe d’été

    Rêvassant à la vue de ces mondes flottants dans les reflets du port,

    Dans le scintillement d’étoiles inversées

    Mirant leur éclat mort dans l’eau rehaussée d’or,

    Que verrai-je moi, dans la douceur du soir,

    Dans les parfums de myrrhe, de jasmins et d’encens,

    Que verrai-je, moi...Qui ne soit encore toi ?

    Malaura

     

     

     

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    Là-bas, derrière le chevalet, s’ouvre un horizon neuf

    Où le ciel est à portée de pinceau…

    Malaura

     

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    ..."La mer est belle et claire et pleine de voyages.   Là-bas

    A quoi bon s’attarder près des phares du soir
    Et regarder le jeu tournant de leurs miroirs
    Réverbérer au loin des lumières trop sages ?
    La mer est belle et claire et pleine de voyages

    Et les flammes des horizons, comme des dents,
    Mordent le désir fou, dans chaque cœur ardent :
    L’inconnu est seul roi des volontés sauvages.

    Partez, partez, sans regarder qui vous regarde,
    Sans nuls adieux tristes et doux,
    Partez, avec le seul amour en vous
    De l’étendue éclatante et hagarde..."

    Emile Verhaeren, Les forces tumultueuses", 1902

     

     

    Vivre pour s'en aller... 

    Là-bas

    Malaura

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    Temps suspendu, temps immobile

    Temps incertain des lendemains

    Temps des amours, temps des regrets

    Le temps perdu, le temps gâché

    Le temps passé à hésiter

    Le temps des doutes, temps de déroute

    Temps d’amertume, temps solitaire

    Le temps passé à ne rien faire

    Et celui des « si c’était à refaire… »

    Le temps qui passe, qui jamais ne revient

    Tant de temps, oui tant de temps,

    Et pas de temps à perdre…

    Temps présent qui se conjugue

    Trop vite au passé, No future,

    Temps sans avenir dans

    Un temps à attendre le pire

    Que suit le temps des soupirs

    Et le temps de vivre

    Et le temps de mourir

    Celui léger des espérances

    Celui-là lourd de déceptions

    Le temps où je n’ai pas su dire

    Le temps où tu n’as pas su montrer

    Tant de temps, oui tant de temps,

    Si peu de temps en définitive

    Quand vient le temps de dire

    Hélas ! Tant pis pour nous…

     

    Et pourtant tu sais, j’aurais tant aimé…

    Prendre le temps…

    Malaura

     

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