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    C’était un temps d'antan, un temps d’amour

    Des fraises, nos lèvres avaient le goût

    Dans l’aube claire d’un nouveau jour

    Tu me susurrais des mots doux

    Le petit fruit d’un rouge vif

    Fondait sucré sur notre langue

    Et mon cœur comme un esquif

    Qui sur des vagues, tangue et tangue

    Prenait la couleur des jours tendres

    Le petit fruit acidulé mettait du rouge sur nos lèvres

    Mettait du rouge sur nos cœurs, mettait du soleil dans nos âmes

    Où est passé ce temps d'antan, ce temps d’amour ?

    Dans quelle saveur diluée s’est égaré le goût des fraises ?

    Et mon cœur comme un esquif

    Qui sur les vagues, tangue et tangue 

    Dans la blancheur du petit jour 

    Voudrait retrouver ces  jours tendres 

    Où nos lèvres soudées, unies, refusaient de se dépendre

    Temps d'antan, temps d’amour

    Goût de fraises...

     

    Malaura 

    Un goût de fraise 

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    Chuchotement des herbes folles dans le creux de l’oreille

    Douceur d’un vert de feuille sur la courbe du vent

    Les pieds nus, un puis deux pas devant l’autre, 

    Vers quel chemin s’égare ma marche silencieuse ? 

    Le front tourné vers l’astre naissant

    Ecoutant le bruissement des roseaux dans la plaine

    Imperceptible chant des senteurs matinales

    Se mêle l’ancolie à la pulpe de l’air

    Ils murmurent une mélopée de foins coupés 

    Caresse d’espérance, une ombre tilleul 

    S’étend sur la pâleur des jours

    Malaura

     

     

     

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    Althéa

    Laisse mes larmes glisser sur ton corps, Althéa, et ma nuit envelopper ton cœur

    Laisse la lumière ombrée de mes doutes effleurer la nacre mauve de ta chair 

    Dans le berceau de tes corolles j’ai trouvé le repos Althéa

    Dans la douceur de ta peau j’ai arrimé  mes angoisses et mes pleurs

    Et dans la clameur sourde d’un monde sans joie, 

    J’ai perçu l’éphémère musique de ta voix 

    Et si  ton image ardente venait à s’abolir dans les ténèbres

    Et si le malheur devait m’éloigner du secret de tes pas

    Je continuerais à voir briller le contour de tes lèvres Althéa,

    Et mes songes à jamais rassasié du parfum de tes bras

    Perpétueraient encore l’éclat de ton désir,  le feu de ton mystère

    Dans la ferveur de ces nuits où l’on ne dort pas

    Althéa…

     

    Malaura

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    Althéa

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    LE TIERS-CHANT

    Te prendre à Dieu contre moi même

    Étreindre étreindre ce qu’on aime
    Tout le reste est jouer aux dés

    Suivre ton bras toucher ta bouche
    Être toi par où je te touche
    Et tout le reste est des idées

    Je suis la croix où tu t’endors
    Le chemin creux qui pluie implore
    Je suis ton ombre lapidée

    Je suis ta nuit et ton silence
    Oubliée dans ma souvenance
    Ton rendez-vous contremandé

    Le mendiant devant ta porte
    Qui se morfond que tu ne sortes
    Et peut mourir s’il est tardé

    Et je demeure comme meurt
    A ton oreille une rumeur
    Le miroir de toi défardé

    Te prendre à Dieu contre moi même
    Étreindre étreindre ce qu’on aime
    Tout le reste est jouer aux dés

    Suivre ton bras toucher ta bouche
    Être toi par où je te touche
    Et tout le reste est des idées

    Louis Aragon (1897-1982)

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    L'ombre de la passion 


     

     

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    Tu suivras au point du jour 

    Le vol chaloupé d’un corbeau 

    Le paysage sera beau 

    Vu de cet autre séjour 

    À quoi te destine le temps 

    Tu n’auras d’autre souvenir 

    Que celui du ciel, de désir 

    Que de célébrer cette attente 

    De la vallée en ses versants 

    De la colline et des parages  

    Indécis où se perd l’instant

    Avec cet oiseau de passage 

    Jean-Claude Pirotte, « Vaine pâture »

     

    Douceur blancheMalaura

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    Les couleurs de la joie dans mon jardin secret

    Où je cours, où je danse, où je chante, où je ris,

    Cabriole et m’élance, de l’aube au crépuscule

    Prise dans le mouvement mystérieux et intense

    De la vie qui bouillonne au fond de mon esprit

    Dans le creux de mes veines et là où doucement

    Se repose ma main …

    Juste ici…Sur ton cœur…

     

    Malaura

     

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    Chanson d'automneMalaura

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    Les feuilles mortes

    Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
    Des jours heureux où nous étions amis
    En ce temps-là la vie était plus belle,
    Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
    Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
    Tu vois, je n'ai pas oublié...
    Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
    Les souvenirs et les regrets aussi
    Et le vent du nord les emporte
    Dans la nuit froide de l'oubli.
    Tu vois, je n'ai pas oublié
    La chanson que tu me chantais.

    Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
    Les souvenirs et les regrets aussi
    Mais mon amour silencieux et fidèle
    Sourit toujours et remercie la vie
    Je t'aimais tant, tu étais si jolie,
    Comment veux-tu que je t'oublie?
    En ce temps-là, la vie était plus belle
    Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
    Tu étais ma plus douce amie
    Mais je n'ai que faire des regrets
    Et la chanson que tu chantais
    Toujours, toujours je l'entendrai!

    C'est une chanson qui nous ressemble
    Toi, tu m'aimais et je t'aimais
    Et nous vivions tous deux ensemble
    Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais
    Mais la vie sépare ceux qui s'aiment
    Tout doucement, sans faire de bruit
    Et la mer efface sur le sable
    Les pas des amants désunis.

    Jacques Prévert

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