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"Nous rêvons à des estuaires, des tumultes, des ressacs, des embellies et des marées. Nous écoutons monter en nous le chant inépuisable de la mer qui dans nos têtes afflue puis se retire, comme revient puis s'éloigne le curieux désir que nous avons du ciel, de l'amour, et de tout ce que nous ne pourrons jamais toucher des mains."
Jean-Michel Maulpoix "Une histoire de bleu"
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Malaura - Cliquez
Chuchotement des herbes folles dans le creux de l’oreille
Douceur d’un vert de feuille sur la courbe du vent
Les pieds nus, un puis deux pas devant l’autre,
Vers quel chemin s’égare ma marche silencieuse ?
Le front tourné vers l’astre naissant
Ecoutant le bruissement des roseaux dans la plaine
Imperceptible chant des senteurs matinales
Se mêle l’ancolie à la pulpe de l’air
Ils murmurent une mélopée de foins coupés
Caresse d’espérance, une ombre tilleul
S’étend sur la pâleur des jours
Malaura
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Certaines histoires ne se racontent pas. Il faut, pour les comprendre, interpréter les signes, décrypter les mots tus, lire entre les lignes...Certaines histoires sont comme des murs, bâties avec des pierres de silence.
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Lumière en cache-cache par la fenêtre ouverte
Ébauches évanescentes des corps qui s’enchevêtrent
Le verre miroitant sur le papier froissé
Et les visages graves dans un galbe argenté
Femme offerte en des rêves abstraits
Impossibles offrandes dans la cage enfermée
Son corps qui ondule sous l’effet de miroir
Comme un serpent qui danse dans les lueurs du soir
La bouteille, le verre et la main qui se tend
Pour effleurer des lèvres l’âpre goût de l’instant
Vodka, alcool intense, enivrante et solaire
S’abreuve en rires gras des âmes solitaires
Tressaillements du cœur, d’indélébiles peurs
Viennent griffer la page en germes de couleurs
Dans les marques du temps et dans les déchirures
L’encre noire se répand et s’épand en coulures
Suivant le fil d’Ariane et les fragments de vie
Ligne noire ondoyant en contours indécis
Là, sous le globe de verre, devant cette fenêtre
Tu vois se dessiner d’éphémères peut-être…
Malaura
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Sentir le vent sur son visage, l’air vif qui pique les yeux, la vie qui irrigue les veines, pédaler à perdre haleine, dévaler la colline, parcourir les chemins, humer le temps, la tête libre, l’âme sereine, le cœur délié, ne plus penser à rien, rien qu’à ce bonheur simple de la bicyclette…
Malaura
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